dimanche 21 février 2010

Wozaik : Très Ingénieux !!! Créez votre "Personal Netvibes" !

Article rédigé par Jennifer Pokrovsky
Wozaik.com : une nouvelle génération de favoris pour accéder en un coup d’oeil à ce que vous préférez sur le Web.


Lorsque vous trouvez quelque chose d’intéressant sur Internet et que vous souhaitez le conserver pour le retrouver plus tard, normalement vous sauvegardez l’url de la page dans vos favoris. Wozaik vous permet de faire bien plus : au lieu de ne sauvegarder qu’un simple lien, vous pouvez désormais littéralement découper le fragment du site qui vous intéresse pour le conserver sur votre espace personnel Wozaik.
Cette découpe n’est pas une simple copie d’écran : vous pouvez interagir avec elle comme si vous étiez sur le site d’origine et surtout elle est mise à jour automatiquement lorsque le site d’origine est modifié. Par exemple, dans la journée, si vous voulez jeter un coup d’oeil rapide au programme télé du soir, il vous suffit de découper la portion du site contenant ce programme et vous la retrouverez directement sur votre espace Wozaik, automatiquement mise à jour.
Sur votre espace, vous organisez vos favoris à votre guise, soit en les regroupant sur une même page, soit en leur associant des étiquettes (tags) pour les retrouver plus facilement.
Comment ça marche ? Il suffit d’installer un bookmarklet dans votre navigateur qui vous permettra de réaliser vos découpes. Wozaik est ainsi compatible avec la majorité des navigateurs.
Le service est encore en version alpha privée, mais vous pouvez le tester ici. Surtout n’hésitez pas donner votre feedback pour aider l’équipe à améliorer le service.


à découvrir ici : http://www.wozaik.com

mardi 16 février 2010

24 millions de cyberacheteurs en France

Par Florentin Collomp
02/02/2010 | Mise à jour : 14:14
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INFOGRAPHIE - Le commerce en ligne ne connaît pas la crise: son chiffre d'affaires a bondi de 26% en France en 2009. Mais il reste plus de deux fois inférieur à celui réalisé par les sites marchands en Grande-Bretagne.

Durant la pire crise traversée par l'économie mondiale depuis 1929, le commerce électronique n'a pas cessé sa progression. Le chiffre d'affaires réalisé en ligne par les cybercommerçants a atteint 25 milliards d'euros, une hausse de 26% en un an. La croissance se poursuit donc à une vitesse galopante: l'activité a été multipliée par dix depuis 2002. Le commerce électronique pèse désormais un peu plus de 4% des ventes de détail (hors alimentation et produits pharmaceutiques). Et les projections sont optimistes: selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), qui présentait ce bilan mardi, le montant pourrait atteindre 46 milliards dès 2012. La progression de 2009 s'est notamment nourrie de la création de 17.000 nouveaux sites marchands, soit deux toutes les heures!






























La France compte 24,4 millions de cyberacheteurs (+9% en 2009), soit sept internautes sur dix. Ils ont réalisé chacun 11 achats dans l'année, pour un montant moyen de 90 euros, en légère baisse. «Cette baisse n'est pas une mauvaise chose, cela témoigne d'une démocratisation», réagit Jean-Emile Rosenblum, fondateur de Pixmania. Pour François Momboisse, président de la Fevad et responsable du développement de Fnac.com, cinq facteurs expliquent cet engouement: «les prix bas, le choix, la liberté ainsi que les spécificités liées à l'internet que sont les produits d'occasion et un bilan écologique inférieur». «L'e-commerce, c'est l'hyper d'aujourd'hui», résume Pierre Kosciusko-Morizet, de PriceMinister.com, qui a connu une hausse de 25% de son chiffre d'affaires en 2009 et mise sur une croissance encore plus forte cette année.
Reste que l'Hexagone affiche un retard conséquent par rapport à nos voisins, l'Allemagne ou la Grande-Bretagne. Le chiffre d'affaires réalisé sur Internet est plus de deux fois supérieur outre-Manche (56 milliards d'euros). La forte progression française est aussi due à un effet de rattrapage. «On sent que quelque chose est en train de se passer, estime Xavier Garambois, DG France d'Amazon.com. Ce n'est que le début, l'avenir est devant nous».

jeudi 11 février 2010

Les Adolescents se détournent des Blogs

Benjamin Ferran (lefigaro.fr)
04/02/2010 | Mise à jour : 15:09
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En 2006, 28% des ados américains bloguaient. Ils n'étaient plus que 14% en 2009.
En 2006, 28% des ados américains bloguaient. Ils n'étaient plus que 14% en 2009. Crédits photo : AFP

Aux Etats-Unis, le nombre de jeunes de 12 à 17 ans tenant un blog a été divisé par deux depuis 2006. Ils préfèrent les mises à jour de statuts sur Facebook, mais ignorent Twitter.

Bloguer serait-il passé de mode chez les plus jeunes ? Aux Etats-Unis, seuls 14% des adolescents connectés à Internet disent désormais tenir un blog, selon un sondage du Pew Internet & American Life Project mené en septembre 2009. C'est deux fois moins qu'en 2006, lorsque 28% des internautes de 12 à 17 ans interrogés affirmaient bloguer régulièrement. Suivant la même tendance, la part des adolescents qui commentent sur les blogs de leurs amis a aussi chuté en trois ans, passant de 76 à 52%.
Les 12 à 17 ans n'ont pourtant pas délaissé Internet. Leurs centres d'intérêt ont évolué. Ils sont désormais 73% à utiliser des réseaux sociaux, principalement Facebook, contre 55% en 2006. Ce qu'ils y font a aussi changé. Ils passent moins de temps à envoyer des messages privés ou groupés, mais ajoutent plus souvent des messages sur les profils de leurs amis (86%) et commentent des photos (83%). «Les mises à jour de statuts ont pris le pas sur la forme traditionnelle du blog», résume Amanda Lenhart, en charge de ce sondage.
Les jeunes cherchent aussi à mieux contrôler les destinataires de leurs messages, ce qui n'est pas le point fort du blog, tandis que les réglages sont nombreux sur Facebook. «La plupart des adolescents ne souhaitent pas vraiment tout rendre public», commente au Washington Post Danah Boyd, chercheuse à Havard et experte de l'usage d'Internet par les jeunes. D'où, juge-t-elle, le faible intérêt pour Twitter. Les plus jeunes sont en effet 8% à utiliser ce réseau. Seules les filles de 14 à 17 ans marquent un intérêt plus marqué que la moyenne (13%).

Les Français parmi les plus assidus

Au final, «les adolescents commencent à ressembler à leurs aînés dans leur probabilité de bloguer», écrit le Pew dans son rapport. Ils rejoignent ainsi des niveaux comparables à celui des jeunes adultes (18 à 29 ans), qui sont 15% à bloguer, contre 24% en 2007. Ils se rapprochent aussi des plus de trente ans, qui se sont eux davantage mis au blog depuis deux ans (11%, contre 7%). Ces adultes se sont pourtant eux aussi convertis aux réseaux sociaux : les trois quarts disent utiliser Facebook, et 19% le réseau professionnel LinkedIn.
Si tous ces résultats concernent les Etats-Unis, le blog paraît aussi être en perte de vitesse auprès des jeunes en France. Quelque 45% des internautes de 12 à 17 lisent des blogs, et 32% en animent, selon la dernière vague d'une étude de Forrester publiée en janvier. En baisse par rapport à 2007 (il y avait 72 % de lecteurs et 37% de blogueurs à l'époque), ces chiffres font malgré tout encore des jeunes Français, dont toute une génération a été élevée aux «Skyblogs», parmi les plus assidus d'Europe dans ce domaine.

lundi 8 février 2010

Metro France lance “MetroReporter”: sa communauté de citoyens reporters rémunérés



mardi 09 février 2010 à 00:16 PDT - by Aziz Haddad Ajouter un commentaire
fhcom-1265637271-logo-metroreporter-metroreporter-N-90-160Metro France proposera mercredi prochain à sa communauté de lecteurs et internautes (2,5 millions de lecteurs quotidiens et 1 million de visiteurs uniques) de devenir reporter en partageant sur le site MetroReporter (pas encore en ligne) leurs photos et vidéos d’actualité.
- Chaque reporter s’inscrit gratuitement sur la plateforme d’échange www.metroreporter.fr. Il y envoie, diffuse, commente et note des images d’actualité.
- La rédaction de Metro France s’engage à publier chaque semaine dans le quotidien Metro et sur son site metrofrance.com certaines de ces contributions.
- Les images sélectionnées par la rédaction de Metro France seront rémunérées.
Metro France est pilote pour ce projet qui sera ensuite déployé dans l’ensemble du réseau Metro à travers le monde.

Bing devient le moteur de recherche de Facebook

Brève rédigée le 08/02/2010 à 14h07 par Charles P.


Microsoft Facebook
Le domaine des moteurs de recherche et celui des réseaux sociaux tissent des liens de plus en plus étroits. Microsoft et Facebook viennent de signer un accord pour unir leur force : Bing devient le moteur exclusif du réseau social. De son côté, Facebook récupère la gestion de ses espaces publicitaires, confiée jusqu'à présent à la firme de Redmond.

Bing pourrait être l'atout majeur de Microsoft dans les années à venir. Si le moteur de recherche de la firme a déjà eu les faveurs de Mozilla au détriment de Google, Bing s'attaque maintenant à un nouveau secteur : les réseaux sociaux.

Facebook et Microsoft viennent de signer un accord faisant de Bing le moteur de recherche exclusif du réseau social. En échange, Facebook récupère la gestion de ses espaces publicitaires jusque là confiées à l'éditeur de logiciels. Les deux firmes montraient déjà quelques signes de rapprochement l'an dernier et cet accord devrait intensifier leurs relations.

Moteur de recherche Bing


En devenant le moteur de recherche du grand réseau social qu'est Facebook (400 millions d'utilisateurs), Bing s'octroie une place de choix. La firme de Steve Ballmer devrait gérer la publicité liée aux résultats de recherche, ce qui lui permettra d'accroître la visibilité et la rentabilité de son moteur.

Windows Live Messenger

Pour Facebook, ce contrat est tout d'abord l'occasion de reprendre en main la gestion de ses encarts publicitaires. Par ailleurs, le réseau social profitera de nouvelles fonctionnalités de Bing pour améliorer son ergonomie. Des interactions entre Facebook et les outils de Microsoft (Live, Messenger...) seraient également prévues.

D'un point de vue plus stratégique, ce contrat entre Facebook et Microsoft est un formidable pied de nez à Google. A la fois moteur de recherche et régie publicitaire, la firme de Mountain View tente de également s'immiscer dans le monde des réseaux sociaux avec Social Search, outil de recherche sociale. L'affrontement entre les deux camps risque de provoquer des étincelles.

Steve Ballmer
Jusqu'à présent Microsoft était souvent représenté comme l'ennemi à abattre en raison de sa position dominante. Il semble désormais que Google soit dans la ligne de mire de nombreux acteurs. Pourrait-on voir émerger des alliances entre Facebook, Microsoft, Apple et Mozilla pour provoquer la chute du géant du web ?

Source : Cnet

jeudi 4 février 2010

Illustration de ce qu'est le "Community Management" de Proximité

Je vous invite à découvrir une vidéo réalisée par Dominique Dufour expliquant simplement et plutôt très bien ce qu'on appelle le Community Management



Fredwpt

mercredi 3 février 2010

Pourquoi, dans les films, tous les ordinateurs sont-ils des Apple ?

Article paru sur :  http://eco.rue89.com/
 
Question posée par du_rhum_des_femmes | (pascontent) | 03/02/2010 | 14H29
La réponse de François Krug
Capture d'écran de Dr House
Ce n'est pas une illusion d'optique liée à un design facilement reconnaissable : Apple est bien la marque d'ordinateurs la plus présente au cinéma. Chacun y trouve son compte. Apple s'offre de la pub gratuite et les réalisateurs sont persuadés que leurs héros seront plus séduisants avec un Macintosh qu'avec un PC.
Le site de marketing BrandChannel a fait les comptes : chaque année, Apple apparaît dans une vingtaine de blockbusters hollywoodiens, plus d'une centaine au total depuis 2001. Loin devant tous ses concurrents.
Même constat dans les séries : les Macintosh, mais aussi les iPod et les iPhone font des apparitions pas toujours discrètes dans « Dr House », « 24 Heures Chrono » ou encore « Les Experts ». Et même dans les séries franchouillardes, de « Un gars une fille » à « Une femme d'honneur », selon le recensement effectué par le site « Le Mac existe, je l'ai vu ! ».
C'est d'abord le résultat d'une stratégie bien réfléchie. Dans le secteur high tech, Apple a été l'un des premiers à recruter un spécialiste du placement de produits au ciné et à la télé. Mais pas question d'évoquer cette stratégie avec un journaliste, explique la porte-parole de la marque en France.

« Mon héros aura l'air trendy »

Eco89 a donc contacté un spécialiste du placement de produits, Jean-Marc Lehu. Professeur de marketing à l'université Paris I-Sorbonne, il a consacré un livre et des études approfondies à cette question. Il explique :
« C'est très intelligent de la part d'Apple, car contrairement à des mastodontes comme Microsoft, ils n'ont pas beaucoup d'argent à dépenser en communication. Et ils sont très sollicités par le cinéma. Les réalisateurs se disent : “Le design est sympa, mon héros aura l'air ‘trendy’ ou de s'y connaître en ordinateurs”. »
C'est un échange de services. Apple ne paye pas pour apparaître à l'écran, contrairement par exemple aux marques qui envahissent les clips de Lady Gaga. Et selon Jean-Marc Lehu, les scénaristes et les réalisateurs préfèrent souvent que leurs héros utilisent un Mac.
D'abord, parce que c'est souvent l'ordinateur qu'ils utilisent eux-mêmes : « C'est une marque intimement liée au milieu artistique. »
Ensuite, et surtout, parce qu'un produit Apple, ça vous pose tout de suite un personnage. Beaucoup de scénaristes américains préciseraient donc la marque de l'ordinateur de leur héros :
« Pour une marque, c'est l'idéal : il ne s'agit plus de placer ses produits dans le film, mais de les intégrer à l'histoire. Il faut arriver le plus en amont possible, dès la rédaction du scénario.
C'est comme pour le choix des voitures dans les films. Quand un personnage sort d'une Twingo ou d'une Vel Satis, on reste chez Renault mais ça n'a pas le même sens. L'environnement de marque va parler à sa place, ça permet de dire les choses sans les dire, ça passe légitimement. »
Problème : Apple s'est construit une image « cool », à contre-courant, mais cette surexposition ne risque-t-elle pas de banaliser la marque ?
« Le risque existe, mais on en est encore loin. Il faut déjà passer par deux autres stades, l'habitude et l'accoutumance des spectateurs, et il y a encore de la marge. Au cinéma, c'est encore perçu comme l'ordinateur idéal pour un personnage de “techno-geek” ou d'espion. »